Cinewax media - les histoires africaines d'aujourd'hui

The 72-minute documentary Burkinabé Rising (2018) by Brazilian-Corean filmmaker Lara Lee is an excellent introduction to Burkina Faso: its turbulent history and its people's rebellious spirit.

Avec la présence du krar, la lyre d’Éthiopie, des éléments surnaturels et imaginaires du conte, My love, Ethiopia (Mon Amour Ethiopie) nous fait entrer dans un univers intérieur où il est possible de conjurer les limites de la réalité. Ce conte animé réalisé par Gabrielle Tesfaye est dédié aux morts et disparus pendant la "Terreur Rouge" en Ethiopie durant les années 1970.

Ayant recu de nombreux prix dont l’Audiance Awards décerné par la British Academy of Film and Television Arts en 2018, Once an old lady sat on my c...

She Paradise est un court-métrage de fiction réalisé par Maya Cozier en 2019. Le film suit Sparkle, une jeune femme de 17 ans, en quête d’émancipation, cherchant une source de revenu à la hauteur de ses envies d’aventures. En essayant d’intégrer une équipe de danse professionnelle de soca, à l'esprit libre, elle fait des rencontres séduisantes mais troublantes, dont celle de Mica. Dans les dédales de la vie nocturne de Trinité-et-Tobago, où se mêlent sexe et argent, Sparkle apprend peu à peu à assumer qui elle est et ce qu’elle veut devenir.

Ousmane Sembene is commonly referred to as the Father of African cinema. Yet, despite the significance of Sembene’s works for African cinema today, his work is still little known by Africans.  

Who is Sembene? What kind of vision did he had for African cinema? And how could Sembene's legacy inspire contemporary African filmmakers? 

To know more about the need to indigenise African cinema, read the interview with Samba Gadjigo and Jason Silverman who recently launched the Sembene Across Africa initiative.

Le film suit Aidan, un disquaire du Havre en quête de vieux vinyles de musique congolaise, et le réalisateur, Rufin Mbou Mikima, à la recherche des voix de son enfance, des Franklin Boukaka, Franco et autres Bantous de la Capitale, dans les sillons du Congo Brazzaville et de la République Démocratique du Congo.

Pour Cinewax, le réalisateur s’est prêté au jeu de l’interview, l’occasion de (re)découvrir vos classiques congolais !

Poisson d’or, poisson Africain est un documentaire d’observation de 52min qui donne la parole aux travailleuses et travailleurs du port de Kafoutine situé dans un village de la région de la Basse-Casamance au Sénégal. Un commerce de pêche très bien organisé s'y opère et réunit femmes, hommes et enfants venant de toute l’Afrique, mis en péril par l'arrivé des multinationales et la nouvelle politique économique du gouvernement sénégalais.

Il y’a quelques mois, plus précisément, le 13 avril 2020, on apprenait la mort de Sarah Maldoror, cette fameuse cinéaste franco-guadeloupéenne, née...

In an exclusive interview musician and producer Mansa (Lallo Darba) and director Sofia Aedo Zahou explain how the the idea to Mansa: An Ode to Self-Exploration came about and share surprising background information on many details of the 4-minute shortfilm.

Queimada a été présenté comme décolonial car il est un des rares films qui montre la réalité des luttes des esclavisés pour leur liberté. Il propose une critique acerbe du système esclavagiste et colonialiste mais aussi de la manière dont l'abolition de l'esclavage a maintenu, jusqu'à aujourd'hui, un système de domination fondé sur la suprématie blanche et le racisme systémique. Pourtant, le film est aussi problématique car il ne donne pas la parole aux premiers concernés. Alors, Queimada propose-t-il véritablement une décolonisation du regard ? Ou bien reproduit-il un regard blanc paternaliste sur les luttes des racisés ? Cinewax vous propose un débat entre deux spectatrices pour mieux comprendre les enjeux principaux du film pour notre monde contemporain.

Antebellum is the latest film produced by QC Entertainment, who is behind Get Out, Us, and Blackklansman. But does it live up to the excellence of its predecessors?

Somos Calentura (We are the heat) by Colombian filmmaker Jorge Navas (La sangre y la lluvia), one of the four movies prenominated to represent Colombia at the Oscars in 2019, wants to be both: a realistic portray of young Afro-Colombians’ daily reality in the port city of Buenaventura and a gripping action musical.